Le développement de logiciel est traditionnellement régulier et délibéré. Au départ, cela peut même sembler une très bonne idée. Jusqu’à ce que cela entraîne des retards et des opportunités manquées alors que l’on va justement lancer un nouveau produit numérique. À l’inverse, le cycle de vie du développement logiciel (SDLC) Agile est souple et flexible. En outre, il crée de la valeur à chaque itération.
Dans cet article, nous allons donc d’abord définir le cycle de vie du développement logiciel (SDLC) Agile et ses différentes phases. Puis, nous le comparerons aux méthodologies de gestion de projet traditionnelles comme la méthode en cascade (Waterfall). Ensuite, nous proposerons un processus en huit étapes pour lancer son propre cycle de vie du développement logiciel (SDLC) Agile. Enfin, nous verrons comment les fonctionnalités de monday dev sont idéales pour gérer un SDLC Agile.
Essayer monday devCycle de vie du développement logiciel (SDLC) Agile : définition
Le cycle de vie du développement logiciel est la traduction de « software development life cycle » en anglais. C’est pourquoi on parle également de SDLC. Ainsi, le SDLC Agile est le processus de développement de logiciel selon la méthodologie Agile, dont l’unique objectif est de garantir la satisfaction client. Pour atteindre ce graal, on divise d’abord les projets de grande envergure en cycles ou « sprints » plus petits. Ensuite, les équipes Agiles travaillent à l’unisson pendant chaque sprint pour arriver à l’objectif prévu. Ainsi, à la fin de chaque sprint, on a produit une valeur ajoutée qui va recevoir le feedback des parties prenantes ou des utilisateurs avant de lancer le sprint suivant. Enfin, ce processus est répété à chaque sprint, qui dure généralement entre deux et quatre semaines.
Par exemple, au cours du premier sprint, une équipe de développement peut se concentrer sur la création d’une interface utilisateur sommaire et d’une maquette du produit voulu. Puis, elle va ajouter de nouvelles fonctionnalités au cours du deuxième, troisième et quatrième sprint. À la fin de chaque sprint, les parties prenantes donnent leur avis sur le travail effectué et peuvent demander des modifications tout au long du processus.
Essayer monday devSDLC traditionnel et SDLC Agile : quelles différences ?
Nous avons comparé le modèle Agile au modèle de gestion de projet traditionnel. Voici un résumé des principales différences entre le SDLC Agile et le SDLC en cascade (Waterfall).
SDLC en cascade | SDLC Agile |
---|---|
Première version soigneusement planifiée | Rapidité et adaptabilité |
Transparence limitée | Transparence totale entre les membres |
Responsabilité descendante | Responsabilité partagée et appropriation |
Recherche et planification initiales | Recherche, planification et tests continus |
Différentes équipes à différents stades | Collaboration permanente |
Axé sur la livraison d'un produit complet | Axé sur l'itération |
Les six phases du cycle de vie du développement logiciel (SDLC) Agile
Bien que le cycle de vie du développement logiciel (SDLC) Agile soit extrêmement flexible, il se décompose toujours en six phases fondamentales : la planification, le développement, les essais, le déploiement, la maintenance et le retrait.
Phase 1 du SDLC Agile : planification
La phase de planification (ou de conception) du SDLC Agile définit la vision et les objectifs du projet. À ce stade, on crée une feuille de route produit. Puis, on étudie les produits concurrents et on classe par ordre de priorité les fonctionnalités dont on a besoin pour son projet. C’est également le moment d’estimer les coûts et les ressources nécessaires pour mener à bien l’ensemble du projet.
Phase 2 du SDLC Agile : développement
Au cours de la phase de développement du SDLC Agile, les développeurs se mettent au travail et collaborent par sprints successifs pour créer un produit qui réponde aux exigences définies lors de la phase de planification. Il ne s’agit pas d’atteindre la perfection, mais de créer une base solide à partir de laquelle construire le produit définitif.
Phase 3 du SDLC Agile : essais
À partir de la version provisoire du produit, on commence à effectuer des tests réguliers pour s’assurer que chaque mise à jour fonctionne comme prévu. On documente les résultats de chaque test et on corrige les éventuels bugs avant de passer à l’étape suivante du SDLC Agile.
Phase 4 du SDLC Agile : déploiement
Après de nombreux allers-retours pendant les tests, on approuve enfin le produit fini lorsqu’on juge qu’il est prêt à être lancé sur le marché. Cependant, dans les cycles Agiles, il est courant de procéder à un lancement en douceur ou à un test bêta avec un groupe pilote avant de lancer le produit auprès d’un public plus large.
Phase 5 du SDLC Agile : maintenance
Peu de produits de haute qualité sont lancés sans qu’aucun problème ne survienne au lancement. La phase dite de maintenance du SDLC Agile est donc concentrée sur la mise en œuvre d’une assistance et d’une maintenance continue du produit. Cela comprend les corrections de bugs et les mises à jour pour s’assurer que le produit reste fonctionnel, sûr et adapté aux besoins des clients.
Phase 6 du SDLC Agile : retrait
Chaque produit ayant une durée de vie limitée, la dernière phase du cycle de vie du développement logiciel (SDLC) Agile consiste à transférer ses clients en douceur vers un nouveau produit qui répond mieux à leurs besoins. Les développeurs réduisent l’assistance fournie sur le produit existant pour finalement l’arrêter et le retirer complètement du marché.
Essayer monday devSDLC Agile : avantages et inconvénients
Avantages du SDLC Agile
Le cycle de vie du développement logiciel (SDLC) Agile présente de nombreux avantages pour les développeurs.
- Le SDLC Agile est centré sur le client. Le cycle de vie du développement logiciel (SDLC) Agile vise à créer un produit qui répond concrètement aux besoins des clients. Attention, il ne s’agit pas du produit dont on pense que les gens ont besoin. On parle ici du produit qu’ils veulent et dont ils ont réellement besoin. Pour cela, des clients et des groupes de discussion sont chargés de donner un feedback régulier qui va façonner l’orientation du produit. En effet, leur feedback permet d’apporter de nouvelles fonctionnalités ou des ajustements qui correspondent aux préférences et aux comportements d’achat réels des clients.
- Le SDLC Agile est polyvalent. La méthodologie Agile permet de changer d’orientation si le marché ou la demande des clients change de manière inattendue. Par exemple, on peut avoir prévu de construire un produit avec une USP spécifique. Mais, au cours de la phase de test, on découvre quelque chose qui pourrait étendre son attrait à un marché entièrement nouveau. Ainsi, contrairement à la gestion traditionnelle des produits, les méthodes Agiles permettent des ajustements rapides pour s’adapter aux changements.
- Le SDLC Agile détecte rapidement les problèmes. Les cycles traditionnels de développement produit comportent plusieurs étapes rigides qu’il n’est pas facile de modifier en cas d’obstacles. La méthode Agile propose tout le contraire : elle invite à la rétroaction. Ainsi, on peut détecter et corriger rapidement les bugs avant qu’ils ne fassent boule de neige et ne se transforment en problèmes plus importants et plus difficiles à résoudre.
- Le SDLC Agile encourage la collaboration. La méthode Agile est fondée sur une discussion permanente. De nombreuses réunions permettent de faire avancer le projet et de responsabiliser chacun sur sa part du puzzle. À l’inverse, les méthodes traditionnelles sont davantage fondées sur la transmission des responsabilités d’un service cloisonné à un autre.
Inconvénients du SDLC Agile
Même si le cycle de vie du développement logiciel (SDLC) Agile a de nombreux avantages, il a aussi ses détracteurs, qui présentent les arguments suivants.
- Le SDLC Agile peut être déstabilisant. L’approche non structurée mais itérative de la méthodologie Agile peut entraîner un manque de clarté et de direction. Ainsi, les développeurs inexpérimentés peuvent se laisser emporter par leur créativité et perdre de vue les objectifs du projet. Pour y remédier, il est important de tenir une feuille de route produit claire et d’organiser fréquemment des réunions Scrum pour ne pas perdre le bon cap.
- Le SDLC Agile peut prendre beaucoup de temps. Le développement Agile repose sur une communication constante. Les vérifications et les réunions quotidiennes peuvent faire perdre du temps aux équipes de développement logiciel réparties sur différents fuseaux horaires ou à celles qui travaillent sur des projets complexes comportant de nombreux éléments mobiles.
- Le SDLC Agile requiert des membres d’équipe compétents. Un développement Agile efficace repose sur une équipe dotée des bonnes compétences. Sans chefs de projet, testeurs et développeurs expérimentés qui savent comment travailler dans un cadre Agile, le processus peut sembler chaotique.
SDLC : exemples de modèles alternatifs
Les méthodologies de développement Agiles ne sont pas la seule façon d’aborder les cycles de vie du développement logiciel (SDLC). Voici une liste de plusieurs autres méthodes de SDLC avec leurs avantages, leurs inconvénients et les personnes auxquelles elles conviennent le mieux.
1. Exemple de SDLC : méthode en cascade
Idéal pour : les projets de développement de logiciels dont les exigences sont clairement définies et la portée bien comprise.
Les cycles de développement logiciel en cascade sont séquentiels et linéaires. Ils permettent de passer d’une phase à l’autre sans retour en arrière. Les cinq étapes d’un cycle de vie traditionnel en cascade sont l’analyse des besoins, la conception, la mise en œuvre, la vérification et la maintenance.
Avantages du modèle de SDLC en cascade
- Simple à comprendre et à mettre en œuvre en raison de sa nature linéaire.
- Chaque phase comporte des produits livrables clairement définis, ce qui peut faciliter la gestion de projet.
- Les jalons de projet sont fermes, ce qui facilite le suivi des progrès.
Inconvénients du modèle de SDLC en cascade
- Peut entraîner des cycles longs.
- Il est difficile de prévoir les éléments nécessaires à un projet.
- Il est difficile d’apporter des changements une fois qu’une phase est terminée.
2. Exemple de SDLC : méthode de développement rapide d’applications (RAD)
Idéal pour : les projets nécessitant une livraison rapide avec des exigences flexibles et évolutives.
La méthode de développement rapide d’applications (RAD) met l’accent sur le prototypage rapide plutôt que sur la planification initiale. Ainsi, on autorise de multiples itérations et ajustements. Les équipes travaillent en parallèle sur différents prototypes qui sont affinés en fonction des réactions des utilisateurs.
Avantages du modèle RAD
- Les prototypes sont développés rapidement, ce qui permet d’accélérer les premières versions.
- L’apport continu des utilisateurs permet d’affiner le produit en fonction des besoins réels.
- Facilité d’adaptation aux changements de portée du projet ou d’exigences du projet.
Inconvénients du modèle RAD
- Nécessite un niveau élevé d’implication des utilisateurs et des développeurs compétents.
- Peut devenir ingérable dans le cas de projets complexes et de grande envergure.
- L’accent mis sur la rapidité peut compromettre l’évolutivité et la robustesse à long terme.
3. Exemple de SDLC : méthode en spirale
Idéal pour : les projets à haut risque qui bénéficient d’une analyse itérative des risques.
La méthode en spirale propose elle aussi un développement itératif. Mais, contrairement à un SDLC Agile, elle se concentre sur la gestion des risques. Elle passe par quatre phases : planification, analyse des risques, ingénierie et évaluation. Ainsi, on peut affiner le projet en permanence.
Avantages du modèle en spirale
- Identification et atténuation proactives des risques à chaque itération.
- Permet des ajustements à chaque spirale, ce qui le rend adaptable à l’évolution des besoins.
- L’accent est mis sur l’amélioration progressive du projet au fil du temps.
Inconvénients du modèle en spirale
- Peut être complexe à gérer en raison de sa nature itérative.
- En raison de l’importance de la planification et de l’analyse des risques, il peut s’avérer coûteux et long.
- Il faut des développeurs et des gestionnaires hautement qualifiés pour l’exécuter efficacement.
4. Exemple de SDLC : méthode incrémentale
Idéal pour : les projets qui peuvent être décomposés en petits éléments indépendants avec une certaine urgence pour une livraison partielle.
La méthode incrémentale consiste à développer le logiciel par incréments. Chaque incrément ajoute alors de nouvelles fonctionnalités au produit. Les incréments initiaux se concentrent sur les fonctionnalités de base et des fonctionnalités supplémentaires sont intégrées dans les itérations suivantes.
Avantages du modèle incrémental
- Un logiciel fonctionnel est disponible au début du cycle.
- Des incréments plus petits facilitent l’identification et le débogage des problèmes.
- Permet des ajustements entre les incréments en fonction des réactions des utilisateurs ou de l’évolution des besoins.
Inconvénients du modèle incrémental
- Il peut être difficile de combiner les incréments.
- Une mauvaise planification peut entraîner des problèmes d’intégration ou des incohérences entre les étapes.
- Peut nécessiter plus de ressources au départ pour l’itération et les tests continus.
5. Exemple de SDLC : méthode Scrum
Idéal pour : les équipes Agiles travaillant sur des projets dont les exigences changent fréquemment et qui doivent fournir rapidement un logiciel opérationnel.
Techniquement, la méthode Scrum est un framework de la méthodologie Agile et donc un SDLC Agile qui organise le travail en sprints. Après chaque sprint, toute l’équipe travaille en cycles courts pour livrer un incrément de produit potentiellement expédiable.
Avantages du modèle Scrum
- Peut s’adapter rapidement aux changements dans la portée du projet ou dans les conditions du marché.
- Des rétrospectives fréquentes permettent une amélioration continue.
- L’accent est mis sur une communication forte et une collaboration continue entre des équipes interfonctionnelles.
Inconvénients du modèle Scrum
- Peut être difficile à gérer sans une adhésion stricte aux valeurs et aux pratiques Scrum.
- La flexibilité peut parfois conduire à une extension incontrôlée de la portée du projet.
- Exige un retour d’information continu et la participation des parties prenantes, ce qui n’est pas toujours possible.
Pour aller plus loin : Gestion de projet Agile ou Scrum : comment choisir ?
Essayer monday devCréer un SDLC Agile : étapes à suivre
Si un SDLC Agile semble convenir à votre développement produit, alors suivez les huit étapes suivantes pour créer un cycle de vie du développement logiciel (SDLC) Agile qui favorise un processus de travail fluide et efficace.
Étape 1 : obtenir l’adhésion de tous
La collaboration permanente est l’une des valeurs fondamentales de la méthodologie Agile. Pour passer au SDLC Agile, il est indispensable que tout le monde soit sur la même longueur d’onde. Il faut donc d’abord obtenir l’adhésion de toutes les personnes concernées par le projet aux valeurs Agiles. Cela inclut les développeurs, les responsables, les clients mais aussi les parties prenantes. Pour cela, mieux vaut choisir un bon outil de gestion de projet Agile, auquel tout le monde va adhérer. Ainsi paré, tout le monde pourra communiquer en toute transparence pour mener le projet vers son objectif final.
Étape 2 : s’engager à respecter les principes fondamentaux de la méthode Agile
Pour créer un cycle de vie du développement logiciel (SDLC) Agile qui fonctionne, il faut également se référer aux douze principes énoncés dans le manifeste Agile pour rester concentré sur un état d’esprit qui va de l’avant.
Étape 3 : choisir le meilleur cadre Agile
Pour choisir le cadre Agile approprié, il faut tenir compte du processus, de la taille, des objectifs et des besoins spécifiques des équipes de développement de son entreprise.
- Scrum est un choix itératif si vous souhaitez gagner en rapidité et en adaptabilité.
- Kanban est une bonne option si vous souhaitez un processus de travail très visuel.
- ScrumBan est un cadre de gestion de projet hybride qui combine Kanban et Scrum.
- SAFe permet de gérer l’ensemble du SDLC de plusieurs produits à grande échelle.
À lire : La différence entre Kanban et Scrum, les notions à connaître.
Étape 4 : remplir et optimiser le backlog produit
Travaillez avec vos propriétaires de produits et vos parties prenantes pour créer un backlog produit de fonctionnalités potentielles et des user stories requises. Au fur et à mesure que les priorités changent et que de nouvelles idées apparaissent, communiquez les mises à jour en temps réel à tout le monde.
Étape 5 : planifier le sprint (itération)
Organisez une réunion avec le propriétaire du produit et tous les membres de l’équipe pour passer en revue les fonctionnalités, les stories et les bugs de votre backlog. Discutez des priorités pour le prochain sprint du projet.
Développez les user stories sélectionnées et créez un processus de travail intelligent en assignant un responsable à chaque tâche ainsi que les délais ou story points estimés. Planifiez vos sprints de manière à donner à vos équipes la marge de manœuvre nécessaire pour s’adapter à d’éventuels goulets d’étranglement ou à des développements surprenants. Puis, livrez dans les délais impartis.
Étape 6 : organiser des réunions quotidiennes
La réunion quotidienne est l’un des piliers des pratiques Agiles, que vos équipes utilisent le cadre Scrum ou un autre cadre pour votre SDLC Agile. Dans tous les cas, concentrez-vous sur les trois points suivants :
- ce que vous avez fait hier,
- ce que vous allez faire aujourd’hui,
- les obstacles rencontrés.
Par exemple, votre équipe de R&D peut faire une réunion Zoom quotidienne pour garder le bon cap. Pour cela, elle peut partager l’écran de son tableau Scrum afin que tout le monde soit au courant de chaque élément du projet. Ainsi, elle améliore l’engagement et la responsabilité de tous.
Étape 7 : testez l’itération avec les parties prenantes
Une fois le sprint terminé, testez l’itération avec les parties prenantes les plus importantes. S’ils acceptent les changements, le sprint est validé et vous pouvez passer à de nouvelles fonctionnalités et à de nouvelles user stories. Dans le cas contraire, abordez leurs problèmes lors du prochain sprint.
Étape 8 : passez en revue votre sprint et évaluez vos objectifs immédiats ainsi que votre backlog
Une fois le sprint terminé, bouclez la boucle en procédant à une évaluation approfondie de vos progrès. Identifiez les points à améliorer et réfléchissez à la manière dont les résultats du sprint affectent les priorités de votre futur backlog.
Le cycle de vie du développement logiciel (SDLC) Agile ne se limite pas à un seul sprint. Il faut ensuite répéter le processus et continuer à produire des itérations fonctionnelles du produit jusqu’à avoir livré la version finale qui répond à tous les besoins des clients.
Essayer monday devGérer un SDLC Agile avec monday dev
Un cycle de vie du développement logiciel (SDLC) Agile est loin d’être statique. Il exige que l’équipe et le projet s’adaptent continuellement aux besoins du clients, au fur et à mesure que l’on passe de l’itération à la production. C’est pourquoi on a besoin d’un espace de travail centralisé et organisé pour héberger tout ce qui concerne sa feuille de route produit, ses objectifs de sprint, son backlog et les communications avec les parties prenantes.
Or, monday dev est la plateforme qui répond à tout cela. Il s’agit d’un espace hautement collaboratif doté de fonctionnalités qui vous permettront de passer de l’idéation à l’après-lancement. Voici quelques façons de l’utiliser dans le cadre de votre cycle de vie du développement logiciel (SDLC) Agile.
Planification de la feuille de route
Rassemblez toutes les stratégies des projets logiciels les plus complexes dans une feuille de route unique, en connectant les équipes de développement et les équipes en contact avec la clientèle 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7.
Gestion des sprints
Organisez le cycle de vie de votre projet en gérant la planification des sprints, les story points, les réunions quotidiennes, les rétrospectives et revues de sprint, mais aussi vos burndown charts Agiles au sein d’une plateforme unique.
Suivi des bugs
Utilisez monday dev pour identifier, rapporter et assigner les bugs aux différents membres de votre équipe afin d’accélérer la remontée et la résolution des problèmes qui freinent votre produit.
Backlog des fonctionnalités
A partir de votre feuille de route produit, conservez une liste hiérarchisée des fonctionnalités sur lesquelles vous devez travailler. Incluez des détails tels que le feedback, la responsabilité des tâches et les échéances, afin de donner une visibilité de ce qui vous attend.
Communication Agile
Gardez vos équipes Agiles coordonnées en fournissant des mises à jour sur les différentes tâches, en proposant des conversations à partir d’e-mails ou d’outils comme Slack, ou en ajoutant des étiquettes, des dates d’échéance et des pièces jointes.
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Essayer monday devFAQ
Comment le cycle de vie du développement logiciel (SDLC) fonctionne-t-il avec les sprints Agile ?
Le cycle de vie du développement logiciel (SDLC) est un processus décrivant les étapes de la création et de la maintenance de produits logiciels. Il suit généralement une approche linéaire et séquentielle. Cependant, avec les sprints Agiles, le SDLC devient plus itératif et cyclique. Ainsi, il permet un retour d'information et des ajustements tout au long du processus de développement.
Le SDLC est-il en cascade ou Agile ?
L’approche du cycle de vie du développement logiciel (SDLC) peut suivre une méthodologie en cascade, Agile ou bien une autre encore. Quel que soit votre choix, il est important de tenir compte de votre équipe, de votre projet et de vos objectifs pour déterminer la meilleure approche pour votre organisation.
Quelle est la durée d'un sprint Agile ?
La durée d'un sprint Agile varie en fonction de facteurs tels que la taille de l'équipe, la complexité du projet et les besoins du client. Certains chefs de produit préfèrent des sprints plus courts de 1 à 2 semaines, tandis que d'autres optent pour des sprints plus longs de 3 à 4 semaines. Dans l'ensemble, vous devez trouver le juste milieu qui convient le mieux à votre équipe tout en vous permettant de livrer des produits de qualité de manière efficace.
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